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vendredi 8 octobre 2010

Jour 14 - La poigné de porte

Aujourd’hui, notre journée a commencé à la Nord-Américaine, c'est-à-dire que nous avons pris une marche ce matin, pour aller déjeuner au Dunkin Donut, quelle aventure!!!!, pas pour les enfants, car eux, ils étaieàt fort occupés a regarder le match de soccer de l’Université Catholique de Manizales, qui jouait tout juste à coté de nous, mais plutôt d’expliquer à la caissière que le numéro que nous inscrivons sur le « slip » de carte de crédit, n’est pas celui de notre carte d’identité Colombienne (mon espagnol doit être bon, si je commence à passer pour un Colombien hihihihi) mais plutôt le numéro de notre passeport (une chance que la demoiselle avait un ordinateur nous avons pu nous comprendre avec Google Translator)

Après ce copieux déjeuner, auquel personne n’a critiqué qu’il n’aimait pas ça, ou n’en voulait plus, nous entrepris notre marche de retour, avec quelques détours, ce qui nous amena tout prêt du Stade de soccer, pour ensuite revenir à l’appartement, ou un somptueux diner au riz nous attendait !

Après notre diner, nous avons couché les gars pour leur sieste, et comme fut l’habitude depuis près de 2 semaines, Camillo nous a fait une crise, parce qu’il ne voulait pas se coucher. Ayant déjà essayé pas mal toutes les techniques, Nancy décida de laisser le petit tout seul dans la chambre après l’avoir rassuré de notre présence à proximité (ce que j’aurais fait moi-même depuis fort longtemps, mais je n’ai pas tout à fait les mêmes techniques et études que Nancy sur le domaine), or, elle sort de la chambre, le petit brasse un peu, et HOP, il barre la porte!!!

Nous n’avons aucune clé pour débarrer cette porte! Nous allons chercher le concierge, malgré toute sa bonne volonté, il n’avait pas de clé, il a tout fait pour nous aider, tout tenté pour débarrer la porte (le petit tournevis, la broche, la carte de papier dans le cadre de porte. Il a même été chercher une magnifique échelle de bambou parce qu’il voulait entrer par la fenêtre de la chambre de bain, la seul petite chose qu’il avait mal calculer est que l’échelle se rendait effectivement à la fenêtre de la chambre de bain, mais la chambre de bain de l’appartement en bas de nous. Bref, il a vraiment tout essayé, mais il était juste mal équipé pour ça, et c’est à partir de ce moment là que j’ai « pris les choses en main » à l’aide de un ou deux bons coups de pieds, et finissant la job avec le « marteau » que le concierge avait. J’ai arraché la poignée pour enfin rentrer dans la chambre!. A notre grande surprise, Ti-Cul, nous attendait, très calme, avec l’autre moitié de poignée dans les mains, et il avait presque un petit sourire en coin!!!

Environs 1h30 plus tard, un serrurier et venue nous remplacer la poignée (à nos frais) et il nous a laissé les clefs cette fois-ci, malgré tout, en s’en tire pas si mal, avec une facture de 55000 pesos, (35.00$) pièces et main d’œuvre inclus. Le pire dans tout ca, quand le serrurier était ici, il a sonné à la porte, a travaillé, son téléphone a sonné, et il n’a jamais réussi à réveiller notre mini-Hulk!



On check les Ninas (demoiselles)


Check Pépé j'en ai vue une !


La vue sur le terrain de soccer de l'Université Catholique de Manizales

Tout pour sauver son fils de la méchante poignée


Les restants


Papa 1 - Poigné 0 par Knout-out technique


Le serrurier


Le coffre d'outil du sérrurier

Pendout toutes le rénovations, le téléphone a sonner, ca a sonné à la porte, le cellulaire du serrurier a sonner, mais rien ne m'a réveiller

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